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 Chapitre 3

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Dine

Dine


Messages : 18
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Chapitre 3 Empty
MessageSujet: Chapitre 3   Chapitre 3 Icon_minitimeDim 14 Fév - 19:31

Bill regardait son frère avec des yeux brillants. Tom était dans un coin reculé avec une blonde plantureuse et leurs têtes étaient inclinées l’une vers l’autre. Ils n’étaient que murmures, sourires, rires. Le bras de Tom était autour de sa taille et sa main lui caressait la cuisse.

Bill les détestait.

Andreas donna un coup de coude à Bill. « Cesse de te morfondre. »

« Oh. » Bill décrocha ses yeux de Tom et fixa son meilleur ami. Andreas était venu passer quelques jours avec le groupe et c’était sa première soirée ici. Ils avaient décidé d’aller en boite. « Désolé. »

« Comment elle s’appelle et pourquoi est-ce que tu la détestes ? » demanda Andreas, sirotant sa boisson.

Bill fronça ses sourcils. « Viki… Elle est horrible. »

Andreas le fixa. « Elle a l’air sympa. »

« Elle ne l’est pas. »

Tom releva la tête et attrapa le regard de Bill. Il se renfrogna et nicha son visage dans le cou de Viki, l’embrassant. Bill roula des yeux et se replaça sur son tabouret. « C’est une salope, » marmonna Bill.

« Bill, » dit Andreas, son ton presque réprimandant. « Tu es une salope. »

Bill fit une grimace. « Je ne suis pas assez bourré. »

« Tu n’es pas bourré du tout, » répliqua Andreas, attrapant le verre de Bill. « C’est de l’eau gazeuse ou quelque chose dans le genre. On va te commander une boisson d'homme. »

Bill soupira, refusant de la main la proposition d’Andreas. Il se retourna pour regarder de nouveau Tom. Tom était en train d’embrasser Viki, caressant son dos en bougeant ses mains de haut en bas. Bill frissonna. Il était si jaloux que chaque partie de lui le faisait souffrir. Il voulait faire disparaître Viki, elle était tout autour de Tom.

Ou peut-être était-ce Tom qui était tout autour d’elle.

« Putain, » murmura Bill. Il but le reste de sa boisson et se releva. Il était assis avec Georg, Gustav et Andreas. Georg et Gustav étaient occupés à discuter avec une bande de filles gloussantes, et Andreas était au bar, commandant d’autres boissons. Bill avait la bougeotte et se sentait surexcité. Juste assez joyeux pour avoir du courage.

Il marcha vers Tom, les mains sur les hanches.

« Qu’est-ce que tu fais ? » demanda franchement Bill.

Tom releva la tête, et fronça les sourcils. « Va te faire. »

Bill ouvrit sa bouche et se pencha en avant, mais Viki le regarda à ce moment-là. Tout ce que vit Bill fut la couleur rouge. Il détourna le regard, serrant ses lèvres en une ligne mince, et tapota ses doigts tendus contre ses cuisses.

« Bill, » marmonna Tom, les yeux à moitié fermés. Viki le fixait avec des yeux vides, de façon impolie. Bill voulait arracher l’air débauché de son visage.

Il décida de lui lancer un regard méchant, puis de se retourner vers Tom. « C’est ce que tu fais quand tu n’es pas en train d’envoyer des SMS dégoûtants ? »

Les yeux de Tom lancèrent des éclairs, mais son expression resta neutre. « Ouais, c’est ça. »

Bill regarda la main de Tom alors qu’il la remontait sur la cuisse de Viki, la posant à un endroit vraiment intime. Bill ferma ses yeux pendant un instant et prit quelques inspirations. Il pouvait sentir cette main. « Tom, vraiment ? » demanda-t-il, essayant de dissimuler la pointe de désespoir dans sa voix. C’était plus qu’une plainte, et Tom baissa le regard.

« Bill, va-t-en, » dit Tom doucement, baissant sa tête près de celle de Viki. « Je te parlerai plus tard. »

Bill se sentait blessé. Il lança un regard à Viki, qui avait l’air complètement déconnectée, et s’en alla. Il marcha jusqu’à être près d’Andreas, au bar. Andreas se retourna et grimaça, tenant un verre vide. « Ils n’ont pas voulu m’en resservir, » dit-il.

« Putain, » jura Bill, prenant le verre de son ami. Il s’assit et héla le barman désespérément, jetant un regard à Tom par-dessus son épaule. Tom était occupé, tripotant Viki. Bill ricana et se retourna vers le bar. « Andreas, sortons d’ici. »

« Pour aller où ? » Andreas avait l’air déçu.

Bill agrippa son bras et le tira jusqu’à la porte de la boite, esquivant les photographes et les fans. Andreas continuait de protester, mais Bill l’ignora et appela son chauffeur pour qu’il vienne. Saki débarqua et s’arrêta près des garçons. Bill sortit une cigarette de sa poche et l’alluma, tapant son pied anxieusement.

« Woah, » dit Andreas, fermant sa veste qu’il avait réussi à attraper pendant cette sortie express. « Quel est le putain de problème ? »

« Je suis juste… » Bill prit une longue bouffée de sa cigarette et la recracha quasiment instantanément, il était si furieux. « Putain. Je suis si frustré. »

« De ? »

« Je ne sais pas. » Bill regarda la cigarette dans ses mains. « Je ne fume même pas. »

« Dit le fumeur. » finit Andreas, donnant un petit coup de pied dans la jambe de Bill. « Sérieusement, Bill, c’est quoi ça ? »

« Où est cette foutue voiture ? » marmonna Bill. « Andreas, tu peux garder un secret ? »

« Bien sûr, » répliqua doucement Andreas, se rapprochant de Bill. Il lui prit sa cigarette et la garda dans ses doigts. « Tu sais que je peux. »

« La voiture… » Bill se pencha en avant et scruta impatiemment la rue, comme si ça pouvait y faire quelque chose. Il toucha discrètement son aine. Aussi fou de son frère soit-il, il était toujours blessé. L’image de Tom touchant Viki ne voulait pas partir de son cerveau.

« Là, » dit Andreas, redonnant la cigarette allumée à Bill. « Ne te brûle pas. »

La voiture tourna au coin et Bill souffla de soulagement, il se sentait comme s’il allait se démembrer sur le trottoir. Ils s’installèrent dans les sièges arrière et Bill enfonça son visage dans ses bras, s’appuyant sur le dossier du siège en face de lui. Andreas plaça une main dans le dos de Bill et frotta.

« Oh mon dieu, » grogna Bill. « C’est si mal. »

« Combien as-tu eu besoin de boire ? » demanda Andreas.

« Genre rien. » Bill se rassit correctement et mit ses mains sur sa tête. Il massa son front et regarda son ami. « Tu peux garder un secret, vrai ? »

Andreas fronça des sourcils. « Dis-moi. »

Bill zieuta le conducteur. Il savait qu’Andreas pouvait garder un secret, mais il n’était pas aussi sûr pour le conducteur. « Fait chier, » dit Bill. « J’ai besoin d’aller dormir ou n’importe. »

« Ok, » dit Andreas, rétractant sa main du dos de Bill. « Tu peux dormir. »

« Tu peux retourner au club, je n’ai pas voulu te forcer à venir avec moi, » dit Bill.

« Je ne retourne pas voir ton frère peloter une fille, » Andreas rigola. « Puis me faire laisser tomber quand il la baisera »

« Merde. » Bill se sentait physiquement malade, il souffrait tellement. « Andreas… Quand on serra arrivé, Je vais boire jusqu’à l’inconscience. »

« Pas moyen. »

« Andreas, » dit Bill, ses dents grinçant. « Si tu as une once de respect pour moi, tu me laisseras me bourrer la gueule stupidement. »

Andreas fronça ses sourcils. « Ouais, ok, » dit-il. « Tu vas trinquer. »

Et c’est ainsi que Bill se retrouva assis sur son large lit d’hôtel, ensevelit par des petites bouteilles miniatures provenant du minibar. Il avait décidé d’en ouvrir seulement quelques unes mais chaque gorgée qu’il prenait était amère, il pouvait difficilement avaler. Il se laissa tomber en arrière sur le lit et grogna lourdement. Andreas était perché sur une chaise proche, mangeant un plat de nourriture apporté par le room service.

« Quoi ? » dit Andreas, la bouche pleine, dégoûtant.

« Pourquoi est-ce que personne ne me touche ? »

Andreas était partiellement choqué. « Um, beaucoup de gens le voudrait. Je pense que des gens payeraient pour te toucher. »

« Je m’en fiche d’eux. » Bill roula sur son ventre et frotta son front contre les draps rêches. « Ils peuvent aller se faire foutre. »

« Bill. » Andreas posa son plat par terre. « C’est quand la dernière fois que t’as couché ? »

« Un an… un an et demie… deux ans, » dit Bill. « Oh merde. Deux ans. »

« C’est nul. »

« Je n’ai jamais été très intéressé, » dit honnêtement Bill. Il attrapa une petite bouteille de vodka et la renifla. Il fit une grimace et descendit le contenu de la bouteille. « Enfin, ce n’est pas entièrement vrai, » ajouta-t-il, faisant une grimace.

« Oh ? » demanda Andreas. « Qui, alors ? »

Bill secoua sa tête. « Je peux pas dire. »

Andreas jeta un regard à Bill. « Ok. »

« Tu ne pourras jamais… Ouais, je ne peux pas dire. »

« Essayons de démêler la situation. Est-ce que c’est moi ? » Andreas fronça des sourcils.

« Non ! Non, non, non » dit rapidement Bill, et l’expression d’Andreas devint offensée. « Pas qu’il y est un problème avec toi, je suppose. Tu n’es juste pas… »

« Non, je suis soulagé, » dit Andreas, craquant un sourire. « Oufff. Est-ce que c’est quelqu’un du groupe ? »

Bill hésita assez longtemps pour qu’Andreas sache que c’était le cas. « C’est pas ce que tu penses, » marmonna Bill.

Andreas s’affala sur le lit avec Bill, poussant les bouteilles sur les bords. « Ok, ça ne l’est pas. Est-ce que c’est quelqu’un autour du groupe ? »

« T’étais plus proche avant. »

« Bon, je peux déjà éliminer une personne, » dit Andreas, rigolant légèrement. « Ce qui nous en fait deux. »

Bill grogna juste et enfonça son visage dans le matelas une nouvelle fois. Il était désolé d’avoir dit quelque chose à Andreas, il aurait juste dû mentir à propos de la dernière fois où il avait couché. Bien sûr il ne pouvait dire à personne ses sentiments à propos de son frère. Personne ne pourrait comprendre, comment pourraient-ils ? Bill se sentit stupide et embarrassé à la pensée d’avoir dit quelque chose à Andréas.

« J’ai besoin d’aide, » marmonna Bill à travers les couvertures. « J’ai besoin d’une putain d’aide. »

« Quoi ? »

Bill se retourna de nouveau, une bouteille gisante venant frapper sa colonne vertébrale. « Ouch, » murmura-t-il, la dégageant de dessous lui et en en prenant une gorgée. « Ugh. Andreas. »

Son ami le lorgna, adoptant une expression concernée. « Bill ? »

« Je suis dans ce putain d’horrible, pénible, frustrant type d’amour, et je peux pas m’en défaire. Je ne peux pas vivre sans cette personne, je ne peux pas supporter d’être autour d’eux, et je n’ai jamais pas été autour de lui…d’eux. Ouais, il est dans le groupe, et… je suis si foutrement épris de lui, je pense que j’en étais amoureux avant même de savoir ce que ça voulait dire. » Bill mit une main devant ses yeux, il ne pouvait pas supporter d’être regardé comme ça. « Et c’est putain de dégueu. »

Il y eut un silence. Bill se demanda s’il avait laissé échapper trop d’indices, mais il avait juste besoin de dire quelque chose à quelqu’un. Finalement, il enleva sa main et regarda Andreas.

Andreas le fixait, livide, bouche grande ouverte. Bill eut un mouvement de recul intérieur ; il n’était pas si bourré, il n’avait eu aucune raison de laisser quelque chose filtrer.

« Bien, » dit doucement Andreas, sa voix raclant dans sa gorge. « Je pense que tu as eu raison sur un point… Tu as besoin d’aide. »

Bill soupira et recouvra son visage de nouveau. Il se demanda si Tom était réellement en train de baiser cette fille.


**

Cette fille était vraiment jolie, là n’était pas le problème.

Bill se mit sur elle, respirant lourdement et tremblant. Il était nerveux, mais il ne se disait pas vraiment que c’était sa première fois. Il n’était pas effrayé de foirer ou de mal le faire. Ces sortes de choses ne lui paraissaient pas importantes. Il n’était juste pas vraiment dans le truc. Presque seize ans et il n’avait encore jamais vu une fille nue avant.

« Bill ? » dit la fille, entourant ses minces épaules. « Tu vas bien ? »

Bill la regarda. Son nom était Kristen et elle était parfaite. Cheveux auburn, yeux bleus, quelques tâches de rousseur sur son nez, et un corps magnifique. Il n’y avait aucun problème avec elle.

« Ouais, » dit doucement Bill, fermant ses yeux. Peut-être que s’il ne voyait rien… Peut-être qu’il avait juste besoin de ressentir les choses. Kristen prit une des mains de Bill et la posa sur sa poitrine. Les yeux de Bill s’ouvrirent brusquement et elle lui sourit en retour. « Est-ce que tu aimes ? » demanda-t-elle.

Bill acquiesça. Il aimait ça, c’était sympa et doux dans sa main. Il donna une caresse expérimentale et Kristen gémit sous lui. Bill sourit légèrement, caressant encore. Ça devait être ok, il devait apprécier ça. Une certaine part de lui devait être normale.

« J’aime ça » chuchota Bill. Il pressa ses hanches contre elle, son pénis s’engouffrant entre ses cuisses humides. Leurs corps étaient chaud tous les deux. Il sentit son érection taper contre l’entrée chaude sous son clito, et ils haletèrent tous les deux. Bill abaissa sa main là, tenant son pénis, et ses genoux frôlant sa moiteur. Elle était si moite, il ne pouvait pas croire que les filles pouvaient l’être comme ça.

Il n’était pas dur, du moins, pas complètement. Son pénis n’avait pas cette douleur familière, il ne mourrait pas d'envie de se soulager.

Kristen attrapa son visage et embrassa sa joue, traînant sa langue contre sa peau. « Tu devrais me baiser maintenant, » souffla-t-elle.

Bill crispa ses doigts sur sa poitrine et sentit son gland entrer dans une douce moiteur. « Juste comme ça ? » dit-il.

Elle acquiesça, ouvrant ses cuisses et se courbant contre lui. « Nous sommes prêts, Bill, tu es prêt. Juste… n’y pense pas. Fais-le, s’il te plait. »

Bill regarda sur le côté, suppliant sa queue de durcir. Il aimait toucher ses seins, c’était sympa. La moiteur entre ses jambes, c’était plus intéressant pour lui que sexy. Son esprit s’échappait, se demandant si les filles étaient toujours aussi mouillées ou…

« Bill ? »

« Ok, » dit Bill, embrassant son nez.

« T’es prêt ? » demanda-t-elle.

« Je suis … » Bill se dégagea légèrement d’elle, grognant pour lui-même. « Je bande plus.»

« C’est à cause de moi ? » Kristen prit son pénis entre ses mains et respira brutalement. « Bill, qu’est-ce qu’il y a ? »

Bill s’assit sur ses cuisses, caressant son ventre. « Peut-être… Peut-être que tu pourrais faire quelque chose ? » Il rougit fortement, il ne pouvait pas croire qu’il venait de lui demander ça.

Elle sourit juste et s’assit. « Bien sûr. » Elle toucha son pénis et Bill ferma ses yeux de nouveau. « Est-ce que tu veux que je te fasse une fellation ? »

« Ce que tu veux, » dit Bill, se penchant en arrière. Tout ce qu’il sentait était des mains qui s’occupaient de son pénis, c’était incomparable. « Oh mon dieu… Peut-être… Peut-être juste… »

« Est-ce que je te rends dur ? Bill ? Regarde-moi. »

Bill ouvrit ses yeux. Il pouvait juste la distinguer dans la pièce sombre. Elle était nue, membres étendus, ses cheveux dégringolant sur ses épaules et autour de son visage. Elle avait l’air époustouflante, Bill le savait. Il aimait les filles. Il appréciait leurs formes, adorait de quoi elles avaient l’air et parfois rêvait d’en baiser une. Et voilà, son rêve se réalisait, en plein devant lui et il n’était même pas là.

« Tu es magnifique, » dit doucement Bill. « Et je suis un idiot. Rallonge-toi encore. »

Elle le fixa alors qu’elle se rallongeait contre le matelas. Bill rampa sur son corps et positionna son pénis entre ses jambes, le dirigeant vers sa chaleur. Il toucha ses seins de nouveau, parce qu’il aimait ça. Ils avaient l’air sympa, chauds, doux.

Bill poussa son pénis à l’intérieur d’elle, juste un peu. Il n’était pas assez dur, mais la moiteur avait l’air extraordinaire autour de lui. Il en avait entendu parler, par Georg et Gustav et Tom.

Il se figea.

« Quoi ? » Kristen avait l’air presque impatiente.

Bill secoua sa tête et entra plus loin à l’intérieur d’elle, finalement son pénis était devenu plus dur. Il imagina Tom faire la même chose à cette fille, à lui. Bill rigola presque, sa ridicule attirance pour son frère était-elle si mauvaise qu’il devait y penser alors qu’il était en train de baiser une fille magnifique ?

Il glissa à l’intérieur d’elle, presque sans effort maintenant, elle s’était ouverte pour lui et était si humide. Il haleta et agrippa ses épaules, fermant ses yeux et imaginant Tom. Tom l’embrassant, Tom le touchant, Tom le baisant. Bill s’étouffa presque. Il voulait être sous Tom, se faisant prendre exactement comme cette fille se faisait prendre.

Il ne voulait pas venir pour elle, il devait faire semblant que si.

« Oooh, » gémit-elle, se tortillant sous lui. Bill mordit sa lèvre. Elle était complètement dedans, et il était en train de penser à ce qu’il allait faire le lendemain. « Plus loin Bill, plus loin. »

Bill grimaça et poussa plus profondément dans sa chaleur, et elle contracta ses muscles autour de son pénis. Il haleta et tomba un peu en avant, ça c’était surprenant. Il n’avait pas été préparé à ça. Ça le fit se sentir mieux que n’importe quoi qu’elle ait fait. Il imagina rendre Tom comme ça, et il secoua légèrement sa tête. Il voulait cette intimité avec Tom, réalisa qu’il la voulait depuis très longtemps. Avec cette fille, ça avait l’air mauvais et demandait trop d’effort. Ça fatiguait Bill.

Avec Tom, Bill sût que ça serait juste bon.

« Oh, mon dieu, » Kristen cria, interrompant les pensées de Bill. Il abaissa son regard, son visage était joliment contorsionné. « Putain, Bill, putain… »

« Est-ce que c’est bon ? » Bill était curieux. Il avait vu du sexe dans les films, il avait entendu ses amis en parler, mais il n’avait jamais pu avoir sa propre idée. « Ça l’est ? »

Kristen ne parla pas pendant quelque temps. Ses yeux étaient fermés et sa bouche était entrouverte en un léger ‘o’. Bill regardait anxieusement, se demandant s’il avait été assez bon. Il ne s’était pas sentit assez bon. Il ne s’était même pas sentit un peu bon.

« Oh, oui, » elle expira, son corps se relaxant. « Oui, c’était bon… Ta première fois ? »

Les joues de Bill rosirent, mais il hocha alors qu’il s’enlevait d’elle. « Ne le dis à personne. »

Elle leva un bras et remit en place une mèche de cheveux qui lui barrait le visage. « A qui je le dirais ? » dit-elle, rigolant un peu.

Bill haussa les épaules, remontant les couvertures sur ses genoux. Sa nudité le mettait mal à l’aise. « Je ne sais pas. »

Kristen fixa Bill pendant un long moment. « Ne le prend pas mal… Enfin, je ne sais pas comment tu pourrais le prendre autrement. Ok, Je vais te poser la question. T’es intéressé par les gars ? »

Les yeux de Bill s’ouvrirent en grand. « Quoi ? »

« Je ne le dirai à personne, » dit-elle rapidement, rougissant.

Il l’avait rencontré à une fête, une fête d’adieu. Ils allaient partir vivre dans un appartement en ville, pour devenir des grosses stars. Bill n’avait aucun doute dans son esprit sur le fait qu’ils allaient devenir hautement populaires, mais il ne pouvait pas dire ça à cette petite citadine. Ne brise pas ma carrière pensa-t-il, se sentant stupide.

« Peut-être, » fut tout ce qu’il dit. Ils étaient à l’étage dans la maison de Georg, Bill avait décidé au début de la soirée qu’il allait coucher. Il allait voir qui était venu pour lui, en plus de Tom. Ça avait été un bon plan, avant qu’il ne l’expérimente, en fait. « Je ne sais pas. »

Kristen acquiesça, entortillant légèrement ses cheveux noirs. « Bon, retournons faire la fête. C’était ta première fois, Bill… C’est normal d’être confus. »

Bill acquiesça, remettant ses habits. Il était enthousiaste de retrouver son frère, de traîner avec lui pour le reste de la soirée.

Ça n’avait pas marché pour lui.


**


« Donc… » Bill cala le téléphone entre son épaule et son visage. « On est d’accord ? »

« Pour sûr, » vint la voix d’Andreas de l’autre côté du téléphone. « Pourquoi pas ? »

« J’ai dit ce truc, » dit doucement Bill. Il se débattait avec sa valise pour la fermer, le coin d’un de ses tee-shirts se prenant dans la fermeture. « Putain. »

« Ne t’inquiète pas pour ça, » dit rapidement Andreas. « Vraiment, on est pas obligé d’en parler. »

« J’ai en quelque sorte envie, » répliqua Bill. « Je n’ai jamais pu avant. »

« Je pense pas être la bonne personne pour ça, » dit Andreas. « Peut-être que t’as besoin de… voir quelqu’un. »

« Tu penses que c’est si mal ? »

Andreas racla sa gorge, ayant l’air gêné. « Je pense que c’est … vraiment putain de bizarre. »

« Je sais, » murmura Bill.

« C’est ton frère, » dit Andreas, désapprouvant. « Tu sais ? »

« Bien sûr que je sais. » Bill rougit fortement, réussissant finalement à fermer sa valise. « Hey, je dois y aller. »

« Bill, attend. Tu vas bien ? »

Bill soupira. « Non. »

« D’accord. Juste… tu sais… appelle-moi si tu veux… » traîna la voix d’Andreas. « Putain, je sais pas. Ça ira, pourtant. »

Ils se dirent au revoir et Bill glissa le portable dans sa poche arrière. Il roula sa valise rouge jusqu’à la porte et jeta un œil dans le couloir. Il était supposé attendre Saki pour chacun de ses déplacements, il ne pouvait jamais y aller seul, aussi ennuyant que ça paraisse être. Il ne vit pas son garde du corps et alors qu’il s’appuyait contre le mur, essayant de se souvenir de la dernière fois où il était sorti sans son entourage autour de lui, Tom apparut.

« Hey, » dit-il. Il avait un large sac en bandoulière sur son épaule et sa casquette était déjà en place.

Bill fixa Tom, essayant de décider s’il avait l’air d’avoir passé une nuit de sexe avant. « Hey, » répliqua-t-il. « Dure nuit ? »

« Bonne nuit, » dit-il. « T’as l’air d’en avoir passé une dure. »

« J’ai l’air ? » Bill toucha ses joues, voulant si fort avoir l’air bien pour Tom. « C’est pas le cas. »

« A quelle heure tu t’es couché ? »

« Je me souviens pas… Plutôt tard, » dit Bill. Il devait savoir. « Et toi alors ? »

Tom massa sa nuque et regarda ailleurs. « Je me suis effondré aussitôt être rentré à la maison après le club. »

« Oh, pas de Viki ? » marmonna Bill.

« Non, pas de Viki. »

Bill acquiesça, soulagé. C’était ridicule à quel point il se sentait soulagé. Il se rapprocha et cligna des yeux vers Tom, laissant ses cheveux choir sur ses épaules et fit la moue. Tom regarda, intéressé, un léger sourire joueur sur ses lèvres.

« Pourquoi t’as fait ça ? » demande doucement Bill.

Tom haussa les épaules. « J’étais excité ? Putain, je ne sais pas. On n’est pas putain de mariés, Bill. J’ai le droit de flirter avec des filles. »

« Tu la touchais, » dit Bill. « Tu la touchais vraiment… devant moi. »

« J’avais besoin de toucher quelqu’un. »

Bill regarda le sol. « Ça fait deux ans que personne ne m’a touché comme ça. »

« Vraiment ? »

« Tu le sais. »

Tom soupira. « Je suppose. »

« Ouais, » dit doucement Bill.

Vraiment doucement, Tom posa sa main contre le visage de Bill et toucha sa joue, laissant ses doigts s’attarder un moment. Bill ferma ses yeux et couvrit la main de Tom avec la sienne, la guidant vers son cou. Les doigts calleux de Tom étaient électriques sur la peau de Bill. Ça fit se sentir Bill mal dans la voie la plus agréable qu'il soit.

Quand Tom retira sa main, Bill était tremblant.

« J’étais sur le point de la baiser, » dit Tom. « J’ai pas pu. Je suis désolé d’avoir fait ça juste devant toi. »

« Non, je comprends, » dit Bill, ses joues brûlantes.

« Je ne pense pas que tu compre- »

Tom fut interrompu. Saki était juste en train de remonter le couloir, flanqué de Georg et Gustav. Bill détourna ses yeux de Tom et attrapa sa valise, faisant un vague signe de tête à Saki et à ses coéquipiers. Les joues de Bill étaient rouges, ses oreilles lui picotaient. Il savait qu’il avait l’air fatigué mais Tom l’avait fait se sentir magnifique.

Il trembla tout le reste de la journée.



**

Bill avait eu une longue journée. Il avait posé pour des photos, répondu à des questions, signé des autographes. Ce n’était jamais aussi fatiguant pour les autres que ça l’était pour lui. Bill devait être au top, à deux cent pour cent. Les gens attendaient de lui qu’il soit souriant, vibrant, magnifique.

Bill était juste fatigué.

Il s’éloigna de Saki et passa le tournant du couloir pour aller jusqu’à sa chambre d’hôtel.
Sa chambre en vue il commença à déboucler sa ceinture, commença à ôter son manteau de ses épaules. Il avait prévu de prendre un bon bain chaud, commander un bon repas, et passer le reste de la soirée nu. Chaque partie de son corps lui faisait mal, même ses ongles.

Il tâtonna à la recherche de sa clé magnétique devant sa porte de chambre. Ça lui prit trois fois avant que la lumière verte ne lui signale qu’il pouvait entrer. Son pantalon était déboutonné, dézippé, et pendant autour de ses hanches. Il laissa une traînée de vêtements de la porte jusqu’à la baignoire.

Quand il entra dedans, il entendit un bruit venir de l’autre bout de la pièce, provenant du lit. Bill fronça ses sourcils et lâcha sa veste sur le sol, son jean glissant le long de ses cuisses. Il avança curieusement jusqu’au bruit, puis haleta.

Tom était sur son lit défait, se branlant furieusement.

« Oh mon dieu, » dit bruyamment Bill. Son pantalon tomba au sol et il replia ses bras, les resserrant autour de lui.

Tom leva la tête, mais n’arrêta pas. « Ugh. » grogna-t-il.

« Tom. » Bill fronça ses sourcils, regardant les mouvements de masturbation de son frère. « Qu’est-ce que tu fais ? »

« De quoi – ça a – l’air ? » Tom roula près de Bill, exposant son pénis dur. Le souffle de Bill racla dans sa gorge et il fit un pas en arrière. « Qu’est-ce que tu fais ? »

« Je recule juste, » répliqua stupidement Bill. Ils formaient une belle paire; le pantalon de Tom était à ses chevilles, et c’était la même chose pour Bill. « Tu… Tu le fais sans moi ? »

Le coude de Tom arrêta de bouger. Il regarda Bill avec des yeux bruns affamés. « Dans ton lit. »

Bill se sentait blessé. Il savait qu’ils avaient tous les deux le droit de se branler quand ils le voulaient ; Bill le faisait tout le temps, ça le gardait sain.

Mais Bill ne put s’empêcher de penser que Tom complotait derrière son dos.

« Tu ne pouvais pas attendre ? » Bill s’agenouilla sur le lit, ôtant son jean de ses pieds. « On fait ça ensemble, Tomi… C’est tout ce que nous avons. Tu le sais. »

Tom enleva sa main de son pénis et tapota la place juste à côté de lui. « Alors… viens le faire avec moi. »

Bill hésita. Il le voulait si fort. Il était fatigué, et la meilleure des choses serait de se relaxer avec Tom. Il souffrait si fort à l’intérieur, il avait besoin de se soulager. Il avait besoin du toucher de Tom.

« Non, » murmura Bill. « Je ne peux pas… Je ne peux plus faire ça. »

« Allez, » dit Tom, souriant légèrement. « Pour moi ? »

Bill rampa jusqu’à Tom et s’allongea juste à côté de lui, sur le côté. Se sentant audacieux, il caressa la cuisse de Tom. C’était moite et chaud, et Tom tressaillit. Leurs yeux se connectèrent et Bill promena son doigt de la cuisse de Tom, à sa hanche. Il posa sa paume contre le ventre de Tom.

« Bien, » dit Tom. Il posa sa main sur celle de Bill et caressa de son pouce en faisant de petits cercles. Bill ferma ses yeux et expira, entremêlant ses doigts entre ceux de Tom. Il roula plus près, pressant ses hanches contre le côté de Tom et gémissant légèrement. Son pénis était dur dans son boxer serré, toute la chaleur de son corps était dans son aine.

« Tom, » murmura Bill. « Et si juste nous… nous touchions un peu, je sais pas. »

« On est des adultes consentants. »

La tête de Bill se releva précipitamment. « Ouais ? »

« Bill… » Tom soupira et bougea près de Bill, leurs cuisses glissant l’une contre l’autre. « Bill, tu es si… Putain. »

« Dois-je enlever ça ? » Bill prit la main de Tom et la descendit jusqu’à l’élastique de son boxer. « Peut-être que tu vas l’enlever. »

Tom secoua sa tête. « Bill, on peut pas… On ne peut pas. »

« Je dois, » dit résolument Bill, décidant sur le champ. « J’en ai carrément rien à foutre de ce qu’il va se passer. »

Tom frôla en une caresse l’épaule de Bill. « Enlève ça… et on va se toucher. Tu peux me regarder le faire, je te regarderai. Ça sera vraiment bon. »
Bill grogna, glissant son boxer le long de ses hanches, révélant son pénis. « Tomi, c’est pas assez. »

« Ça doit l’être, » répliqua lourdement Tom, aidant Bill avec son boxer. « On ne peut pas céder. »

« On est en train de céder. »

« Putain, je te veux tellement fort, » dit Tom, soudainement en colère. « C’est quoi le putain de bordel ? Peu importe qui t’as… Ils ne sauront même pas. Putain, regarde-toi. Tu es parfait. »

Le cœur de Bill gonfla, il se sentait si fier que son frère pense cela. « Dis-moi quoi faire, » murmura-t-il.

Tom s’assit, enroulant sa main autour de son pénis une nouvelle fois. « Uh… enlève ton haut. J’ai besoin de voir tout de toi. »

Bill obéit, balançant son petit haut à travers la pièce. Il enroula ses bras autour de lui, ne se protégeant pas du froid, mais des yeux de Tom partout sur lui. Ils étaient en train de franchir une ligne définitive. Bill se sentait plus vivant qu’il ne l’avait jamais été.

« Oh, Bill, » murmura Tom, caressant son pénis et mordant sa lèvre. « Couche-toi… Touche ta queue. »

Bill était presque choqué des mots grossiers de Tom, mais il passa outre. Il se toucha lentement, fixant les lèvres de Tom, les imaginant l’embrasser. Bill voulait fermer ses yeux et atteindre cet endroit, mais ce qui était en face de lui était trop dur à occulter. Tom était à moitié nu, se caressant, lui disant quoi faire.

Ils rampèrent tous les deux et s’allongèrent épaule contre épaule, bras mouvants alors qu’ils se caressaient. Bill voulait aller plus loin et toucher l’érection de Tom, ses doigts souffraient de ne pas le faire. Il garda une main sur son pénis et glissa l’autre sur la cuisse de Tom une nouvelle fois. Tom tourna la tête sur le côté et fixa Bill.

« Qu’est-ce que tu fais ? » demanda Tom, ayant l’air nerveux.

« Je… » Bill crispa ses doigts, les creusant dans la peau de Tom. « Rien. »

Tom soupira et tourna sur le côté, faisant face à Bill. Bill haleta, les genoux de Tom étaient en contact avec son ventre maintenant, leurs pénis étaient si proches l’un de l’autre. « Tomi, » murmura Bill.

Tom hocha la tête. « Je te vois, » dit-il doucement. « Tu as l’air si bon. »

« Tu es bon, » répliqua Bill, sa main était toujours sur la cuisse de Tom. Tom sourit et se dégagea, vraiment à fond dans ses caresses. Les yeux de Bill suivaient les mouvements de Tom, il oubliait presque de s’occuper de sa propre excitation. Regarder son frère était suffisant. « Putain, Tom. »

« J’ai pensé à toi la nuit dernière, » dit Tom, fermant ses yeux. « Quand je suis allé au lit, j’ai pensé à toi… Putain ça m’a rendu si excité. Je voulais t’appeler. »

« Pourquoi tu ne l’as pas fait ? »

« C’est jamais une bonne idée, » dit Tom, rigolant brièvement. « T’appeler me frustre juste encore plus. »

« Désolé, » dit doucement Bill. Il délaissa son pénis et caressa la cuisse de Tom, sa main se rapprochant de l’érection de Tom. Il pouvait sentir l’excitation de Tom, ça l’intoxiquait. Il remonta sa main tout le long de la peau humide de Tom et la posa sur sa joue, humant le parfum. « Dis-moi s’en plus, qu’est-ce que t’as fait ? »

« Je, » marmonna Tom, « J’ai, tu sais… J’ai fait ce que je fais habituellement dans ce genre de situation. »

« Ça ? »

Tom acquiesça, une expression peinée sur le visage. « Bill, tu sais que si tu décides un jour… tu sais, décides réellement que tu veux… »

Le cœur de Bill battit précipitamment. « Oui ? »

« Fait chier. » Tom arqua son dos et laissa échapper un cri, jouissant sur son ventre et ses cuisses. Un peu du liquide chaud atterrit dans la main de Bill et il rétracta son bras, haletant légèrement. C’était la première fois que ça arrivait. Furtivement, Bill regarda si Tom était en train de regarder. La tête de Tom était ancrée dans l’oreiller, il était pantelant, ses yeux à moitié fermés.

Bill lapa le liquide dans sa main.

« Bill. »

Bill abaissa sa main et sentit son corps entier rougir. Tom l’avait vu.

« Je voulais juste… » tenta Bill. « Te goûter. Ça. Toi. »

« Comment c’est ? » demanda Tom.

Bill hocha la tête lentement, fronçant des sourcils. « Ça donne envie de plus. »

« Tu ne devrais pas. » Tom regarda tristement Bill. « Je ne devrais pas. »

Bill retomba en arrière et Tom ne bougea pas. Bill ne savait pas ce qu’il allait faire, mais alors qu’il se rapprochait du visage de Tom, il commença à réaliser à quel point c’était mal de sa part d’être si près, de franchir la ligne. Il était sous contrôle, de lui et Tom.

Ses lèvres frôlèrent l’épaule de Tom et ils soupirèrent tous les deux.

« Viens-là, » dit Tom, ouvrant ses bras. Bill roula entre eux et Tom le tint plus près de lui, leur peau nue se touchant. Bill était penché d’une telle façon que son pénis était pressé douloureusement contre le matelas. Tom frotta son dos, respirant chaudement sur son épaule.

« Qu’est-ce qui ne va pas chez nous ? » marmonna Bill.

Tom haussa les épaules, resserrant ses bras autour de Bill. « On est frères, voilà ce qui ne va pas chez nous. Putain de… »

« Ouais. » Bill ramena ses jambes contre son torse et pressa son dos contre la poitrine de Tom.

Il lui fallut un long moment avant de s'endormir.
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Chapitre 3
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