Chapitre 14

Dans le bain, Bill avait demandé à Tom de lui frotter le dos. Tom, trop fatigué pour argumenter, avait commencé à passer ses mains le long de son dos lisse et de ses épaules mais il s'arrêta quand il réalisa que ses mains enlevaient des morceaux de la peau de Bill.
 
« Tu pèles, tu sais » dit sèchement Tom.
 
« Huh? » Bill se retourna. Tom plissa son nez quand une épaisse et humide mèche de cheveux noirs le frappa au visage alors que Bill tournait rapidement la tête.
 
« Tes épaules sont complètement brûlées »
 
« Peut-être que si quelqu’un m'avait mit de la crème solaire au lieu de discuter avec cette grosse salope bronzée... » se vexa Bill, croisant les bras. Il inclina la tête sur le côté, regardant les dégâts sur ses épaules et grimaça à la vue de sa peau d'un rouge vif et aux plusieurs pelures.
 
Tom fronça les sourcils. Il avait essayé de sortir April de son esprit. Il était terrassé par la culpabilité à chaque fois qu'il se souvenait à quel point il avait été proche de la baiser; un peu trop proche. S'il l'avait fait, il n'aurait pas été avec Bill à cet instant.
 
Et il était très heureux d'être avec Bill à cet instant. Tom n'avait pas pris de bain moussant depuis tout petit et il ne pouvait imaginer un meilleur moment pour en prendre un. La salle de bain de la chambre de Bill était gigantesque, et la baignoire était impressionnante. Tout était tellement blanc et brillant, à part les robinets en or. Ceux-ci, et le pommeau de douche étaient sculptés sur le modèle d'une tête de lion, et l'eau sortait entre leurs dents tranchantes et brillantes.
 
Voulant changer de sujet, Tom bougea, libérant des bulles autour de lui avant de s'éclaircir la gorge et hocher la tête vers le lion.
 
« Est-ce que tu as déjà essayé de te sodomiser avec ça? »
 
Bill leva la tête et éclata de rire. Tom sourit; il avait apprit à aimer le rire de Bill. Il enroula un bras autour de sa petite taille et l'attira contre son torse.
 
« Ce n'est pas un pommeau de douche amovible, alors non » la main de Bill glissa sous l'eau et il donna un petit coup dans le genou de Tom. « Mais s'il avait été amovible, nous aurions eut une conversation différente. »
 
« T'es une vraie catin » Tom roula les yeux, ses mains caressant l'intérieur des cuisses de Bill. Il savait qu'il était en train d'être un peu trop câlin, mais il était trop fatigué pour du sexe à nouveau; il aimait simplement toucher Bill. Sa peau était encore plus agréable maintenant qu'elle était entourée d'eau mélangée à du savon.
 
« Tu sais que tu aimes ça » Bill tira la langue, son dos encore contre le torse de Tom. Il se tortilla contre lui un moment, sa main farfouillant dans l'eau et fouillant le fond de la baignoire à la recherche du savon. « Quand tu auras fini le massage, lave mon dos. »
 
« Bill, ça te tuerait de dire 's'il te plait'? » grommela Tom.
 
« J'ai demandé plutôt gentiment » bredouilla Bill pour se défendre. Il trouva enfin le savon et le tendit, son poignet incliné alors qu'il attendait Tom.
 
Tom ne prit pas le savon et fronça les sourcils. « Ce n'est pas gentil si tu ne dis pas 's'il te plait'. Je me fiche que tu sois garce avec les autres, mais tu ne penses pas que tu pourrais être gentil avec moi? Puisque tu m'aimes et tout, du moins c'est ce que tu as dit. »
 
« On dirait une fille » craqua Bill, élevant encore le savon.
 
« Putain! »
 
« Très bien, très bien! » dit rapidement Bill. Il se retourna complètement, son corps émergeant légèrement de l'eau. Il rougit, ramena des bulles près de lui à l'aide de son bras tandis qu'il enroulait ses jambes autour du bas du dos de Tom, s'installant sur ses genoux. « Pourrais-tu, s’il te plait me laver le dos? » Il cracha le « s'il te plait » n'étant pas habitué à le dire. Après tout, les domestiques que sa famille embauchait n'avaient jamais d'aussi grands espoirs quand il s'agissait des manières de Bill. Mais Bill ne voulait pas se battre à nouveau avec Tom – et de plus, Tom n'était pas un domestique.
 
« C'est mieux » dit doucement Tom, souriant devant la facilité avec laquelle Bill avait cédé. Il se pencha en avant pour lui faire un smack et passa une main dans ses cheveux mouillés avant de finalement prendre le savon. Tom sentait que Bill commençait enfin à s'améliorer; c'était une progression lente, mais c'était tout de même une progression.
 
Bill sourit quand Tom prit le savon et partit de ses genoux, marchant sur les siens vers le bord de la baignoire. Il se souleva, agrippant la porcelaine de ses mains mouillées et bougea lentement ses mains pour finir par les poser à plat sur le sol. Il était à moitié en dehors de la baignoire, le dos à l'air libre. Sa moitié inférieure était à peine dans l'eau; son cul aurait été visible s'il n'avait pas été couvert de bulles.
 
« J'ai du sable et des saletés partout , alors sois pas timide » dit Bill par-dessus son épaule, inconscient du fait que Tom ne pouvait s'arrêter de fixer sa position. Pour Bill, il n'était pas du tout obscène; après tout, il était habitué à montrer son corps nu au jeune homme aux dreadlocks.
 
Tom déglutit, sa bouche soudainement sèche. Ses yeux longèrent le corps de Bill, qui était encore mieux mouillé. Sa peau habituellement blanche avait bronzé et brillait, grâce aux quelques bulles de mousse éparpillées ça et là sur son dos. Ses épaules étaient légèrement rouges, sa peau pelait, mais à part ça, il était parfait. Et bien sûr, Tom ne pouvait omettre la forme de son cul, mignon et coquin sous toutes ces bulles.
 
Il s'avança lentement et passa le savon de haut en bas sur le dos de Bill. Tom était un peu gêné par lui-même – bordel, comment pouvait-il être aussi excité en permanence? Il venait de passer la nuit et le matin précédent à faire l'amour avec Bill sur la plage! Et pourtant, la vue du beau brun nu et mouillé le rendait dingue.
 
Bill avait fermé ses yeux et était par dessus le bord en porcelaine. C'était inconfortable et il avait même un peu froid. Mais le savon lisse et les mains de Tom qui couraient le long de son dos étaient assez bons pour que son esprit ne pense pas à sa position.
 
Il entendit le savon retomber dans un ‘plop’ dans l'eau et taper contre le fond de la baignoire. Les yeux de Bill s'ouvrirent soudainement et il poussa un cri en sentant un doigt de Tom à l'intérieur de lui.
 
« Tom! » haleta-t-il, se redressant immédiatement. Il était encore à moitié hors de l'eau et avait à présent entièrement conscience du torse de Tom pressé contre son dos et du sexe dur pressé contre l'arrière de ses cuisses alors que Tom continuait de l'explorer.
 
« Tu as dit d'aller partout, non? » dit Tom d'un air malicieux, faisant entrer et sortir son doigt du corps. Sa main, comme le cul de Bill, était glissante grâce au savon et à l'eau, ce qui lui donnait un accès aisé.
 
« O-ouais, mais, ah! Putain! » Bill mordit ses lèvres quand Tom effleura sa prostate. Son sexe gonflait rapidement et ses muscles se contractaient presque douloureusement. Un frisson passa le long de sa colonne vertébrale quand Tom commença à mordiller son cou.
 
Bill eut le choc de sa vie quand Tom retira soudainement son doigt et l'attrapa par les hanches,  le soulevant. Bill cria d'indignation alors qu'il se faisait pousser en dehors de l'eau, son torse et son visage contre le carrelage alors que son cul gigotait à l'air libre, ses jambes étaient les seules à être encore dans l'eau.
 
N'importe quel mot qu'il aurait pu dire fut rapidement oublié alors qu'une langue chaude plongeait à l'intérieur de lui. Il gémit, ses doigts se resserrant sur le tapis en peluche de la salle de bain et il serra les dents, essayant de ne pas crier. Tom appréciait l'instant – il adorait voir Bill si soumis et si tortillant. Il le léchait à l'intérieur de façon experte, le retenant par les genoux afin qu'il ne glisse pas entièrement hors de la baignoire. Tom savourait son goût musqué et frais, mélangé avec l'odeur au melon du savon qui avait été abandonné dans l'eau.
 
« Bill, tu as vraiment un putain de bon goût » grogna Tom, sortant sa langue pour parler brièvement.
 
« Chuut, ne parles pas » chuchota Bill, poussant ses fesses vers le visage de Tom. La respiration brulante contre son entrée le fit presque jouir. « Encore, Tomi. »
 
Tom ignora sa demande et s'éloigna à la place. Il sortit le mignon et délicat petit pied de Bill de l'eau et planta ses dents dedans. Cette fois-ci, Bill cria et retira son pied, se tournant pour le regarder.
 
« Je croyais t'avoir dit de dire 's'il te plait' » sourit Tom, repoussant Bill avant de se mettre à nouveau devant son cul.
 
« S’il te plait! »
 
« S'il te plait quoi? » le taquina Tom, donnant un petit coup de langue à l'intérieur.
 
Bill était sur le point de pleurer de frustration quand il tonna « Continue de faire ça, s'il te plait! »
 
Satisfait, Tom rebaissa la tête. Bill courba ses doigts de pieds, soupirant de contentement alors qu'il se faisait dévorer. Les bras de Tom étaient autour des jambes de Bill, le maintenant en équilibre pendant qu'il continuait délibérément de le baiser avec sa langue. Son propre sexe pulsait mais il voulait que Bill soit celui satisfait.
 
Bill avait des papillons plein le ventre, son sang se concentrait dans son bas ventre. Il n'était vraiment pas loin de l'orgasme mais il savait que la langue de Tom ne suffirait pas; Tom faisait du bon boulot et tout, mais sa langue n'était pas comparable à son sexe.
 
« Tomi » marmonna Bill. « Baise-moi. »
 
« Bill... »
 
Bill ronchonna. « Baise-moi s’il te plait! »
 
Tom sourit. Il se redressa, dirigeant son sexe vers le cul de Bill. Il ne pouvait absolument pas dire non, pas après que Bill ait été si poli.
 
**
 
Ils étaient sortis du bain, encore plus sales que quand ils y étaient rentrés et étaient à présent vautrés sur le lit, seulement en boxer. Les rideaux bleus virevoltaient alors qu'une brise passait dans la chambre à travers les fenêtres ouvertes.
 
Bill était appuyé contre une pile de coussins, assit en tailleur tandis que Tom et lui regardaient un film qu'ils avaient trouvé en zappant à la télévision. La joue de Tom reposait sur le genou de Bill et il regardait l'écran avec intérêt. C'était un film avec Jessica Alba après tout.
 
« Bon dieu, quel chanceux bâtard » marmonna rêveusement Tom tandis que Jessica Alba se jetait sur Bruce Willis et qu'ils commençaient à faire passionnément l'amour.
 
« Qu'est-ce qu'il a de si chanceux? » demanda calmement Bill, baissant les yeux sur la tête de Tom. Il secoua légèrement son genou, simplement pour embêter l'autre garçon.
 
Tom leva les yeux au ciel. Sa patience n'était pas au plus haut quand il s'agissait des crises de jalousie de Bill et il ne répondit pas. Les yeux de Bill brulaient l'arrière de sa tête mais il l'ignora, continuant de regarder la TV. Il poussa un bruit de protestation quand Bill changea de chaine.
 
Ils atterrirent sur un film d'amour, qui était actuellement une autre scène de sexe. Bill soupira, baissant la tête sur le paquet de dreadlocks qui s'était échappé de ses genoux.
 
« Tomi? »
 
« Quoi? »
 
Bill fronça les sourcils, ramenant ses genoux contre son torse avant de poser sa joue sur le droit. Il rougit, se sentant un peu stupide alors qu'il ressentait l'urgence de parler à Tom de quelque chose qu'il avait en tête depuis un moment.
 
« Euh...Tu sais, dans tous ces films, c'est genre... un scénario spécial monté de toute pièce. »
 
Tom lui jeta un coup d'œil et haussa un sourcil, lui indiquant qu'il était perdu.
 
« Ce que je veux dire c'est que le personnage finit toujours par trouver le vrai amour, d'une façon unique » commença à développer Bill. « Comme... Tu vois, le personnage principal est toujours une solitaire au début puis elle déménage dans une nouvelle ville et tombe amoureuse de ce mec, qui est populaire. Puis ils se rencontrent parce qu'elle l'aide, et ils réalisent qu'ils sont parfaits l'un pour l'autre, tu vois? C'est comme si, dans toutes ces romances, il y avait une histoire d'amour compliquée. »
 
Tom hocha la tête, se demandant ce qu'essayait de dire Bill.
 
« Et des fois j'me demande » ajouta Bill. « Quelle est mon histoire d'amour compliquée? Est-ce que tout le monde a une âme soeur? »
 
« Bill, ce sont des films tu sais » marmonna Tom. Il n'avait jamais été fan des intrigues romantiques et pensait que c'était trop fifille et irréaliste. « La vraie vie est plus ennuyante. »
 
« Quelqu'un est amer » grommela Bill, son front se plissant. Maintenant qu'il y pensait, Tom n'était pas tellement romantique. Le moment le plus romantique entre eux avait été à la plage la nuit dernière et cela avait été complètement impromptu. Mais alors qu'il continuait à regarder Tom, Bill réalisa que le fait que leur instant à la plage ait été spontané l'avait en fait rendu plus romantique.
 
Il sourit, se demandant si Tom était son âme soeur.

**
 
« Toc, toc » pépia nerveusement Simone alors qu'elle ouvrait la porte.
 
Bill et Tom levèrent la tête vers elle. Ils étaient sur le lit, regardant un film, entourés de tas de nourriture et de papier de bonbons vides et de paquets de chips. Outre le fait qu'ils étaient seulement en boxer, ils semblaient relativement innocents, et Simone soupira de soulagement, contente de ne pas être entrée et tombée sur quelque chose.
 
« Gordon et moi prenons un taxi pour aller en ville. Des volontaires? » sourit-elle.
 
« Non merci » marmonna Bill, lapant un Twizzler.
 
« Non, merci à vous » sourit Tom en retour. Il était encore crevé et le lit était trop confortable.
 
« Oh, bien... on pensait aussi aller diner et- »
 
« On veut rester ici » dit fermement Bill, ne la regardant toujours pas. « On est bien installé et tout. »
 
« On ne sera pas là pour une bonne partie de la nuit... je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée de vous laisser à la maison, seuls » Simone tortilla ses pouces, ses lèvres ne formant qu'une fine ligne.
 
« Alors on reste d'autant plus » Bill la regarda enfin, un sourire malicieux sur le visage. « Tous seuls pour la nuit? » Il n'avait en fait aucunement l'intention de faire l'amour mais il adorait voir sa mère commencer à craquer.
 
Simone essaya de ne pas trop trembler alors qu'elle se retournait et fermait lentement la porte derrière elle.
 
« Hey, Tomi? » Bill donna un petit coup à Tom avec son pied une fois Simone partie. Tom ne répondit pas immédiatement, ses yeux étaient fixés sur l'écran, reluquant le dernier épisode de The Girls Next Door. Il avait un engouement pour Kendra que Bill ne comprenait pas, qu'il n'aimait donc pas. Il soupira, ses joues devenant rouges de colère devant ce Tom devenant si distant et abruti.
 
« ...Ouais? » marmonna Tom quelques minutes plus tard, remarquant enfin que Bill le fixait.
 
« J'allais te demander si tu voulais de la glace... » Bill leva les yeux au ciel, croisant ses bras alors qu'il continuait de le dévisager. « Mais quelle glace peut concurrencer avec des faux seins? » ajouta-t-il avec sarcasme.
 
« Hun-hun » répondit distraitement Tom, ne lui accordant clairement aucune attention.
 
Bill grogna et poussa Tom sur le dos avant de grimper au-dessus de lui.
 
« Hey, c'est quoi ce bordel! » Tom ouvrit la bouche avec agacement car son bonheur de regarder Kendra avait été interrompu.
 
« Mange de la putain de glace » cracha Bill, ses cuisses maintenaient fermement la taille de Tom, l'appuyant contre le matelas. Il avait un Magnum qui était à moitié fondu et qui coulait sur sa main. Le dit Magnum était suspendu près de la bouche de Tom tandis que le brun essayait de le faire manger. Apparemment, la colère et la jalousie de Bill s'étaient intensifiées et Tom avait à présent un peu peur.
 
« Ok, ok! » Tom en lécha un bout avec hésitation. Il n'avait pas faim, étant donné qu'il avait mangé non-stop durant les deux dernières heures, et le chocolat fondu et sucré ne lui faisait que souhaiter avoir de l'eau fraiche pour passer le goût.
 
Bill sembla se calmer un peu et rougit, réalisant qu'il avait agi comme un psychopathe. Il s'enleva rapidement de sur Tom et s'assit à côté de lui, mangeant le Magnum silencieusement. Il regardait attentivement les Playmates blondes sur l'écran de TV.
 
Tom se sentit un peu mal pour lui. Il avait été légèrement distant parce que l'insécurité de Bill l'avait ennuyé – mais à présent, l'insécurité et les défauts de Bill semblaient seulement attachants. Il se redressa, son abdomen légèrement engourdi par le poids de Bill, et enroula un bras autour de la petite taille de Bill, se penchant en avant pour déposer une bise chocolatée sur sa joue.
 
Bill grimaça alors que le baiser humide et chocolaté atteignait sa peau et tortilla son nez.
 
« En fait, laisse-moi en avoir un peu plus » Tom hocha la tête vers le Magnum.
 
Bill rayonna et le tendit joueusement.
 
Pile avant que la glace n'atteigne la bouche de Tom, Bill éternua, son bras déviant accidentellement contre sa joue. Le dreadlocké fronça les sourcils en sentant sa peau dégouliner de chocolat fondu et sortit lentement sa langue, léchant ce qu'il pouvait. Bill gloussa et prit un autre morceau de sa glace avant de taper joueusement le torse de Tom.
 
« Tu veux que je te nettoie? » offrit-il modestement, enlevant les petites traces de chocolat qu'il avait sur son propre visage alors qu'il posait le Magnum sur une serviette sur sa table de nuit.
 
« Oui s'il te plait » sourit Tom, inclinant sa tête de façon à ce que sa joue soit orientée vers Bill.
 
Bill sourit et se pencha, sortant sa langue de sa bouche et lécha lentement le visage de Tom, gémissant légèrement au goût sucré de chocolat qui était encore meilleur une fois complété par la peau de Tom. Le chocolat était quasiment sur tout le côté gauche de son visage et Bill le nettoya avec envie, mordillant ses fossettes et accrocha ses dents au coin de sa bouche. Ses dents de devant furent momentanément prise par le délicieux piercing de Tom et les deux garçons sourirent quand Bill dirigea son attention sur la bouche de Tom.
 
Il y avait très peu de chocolat sur les lèvres de Tom mais Bill les lécha quand même, les mordants doucement avant d'appuyer ses propres lèvres contre.
 
« Nettoie aussi l'intérieur de ma bouche? » murmura Tom alors qu'il s'allongeait contre un coussin, poussant Bill sur lui. Il ouvrit impatiemment ses lèvres et Bill y entra sa langue, s'installant sur son torse.
 
Le chocolat ne faisait que rendre sa bouche encore meilleure et il l'embrassa fougueusement, enfouissant ses mains dans les dreads blondes foncés. Bill remarqua que, cet instant, s'il avait été filmé, aurait était la scène parfaite d'un film d'amour et il ne pouvait qu’en être plus heureux.
 
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